En route pour Tallinn, nous faisons une halte repas dans un
petit restaurant où l’armée et les routiers nous semblent une publicité non
mensongère.
Le système nous surprend un peu : nous passons commande
au comptoir, payons, prenons nos couverts, nos boissons et un numéro puis nous
allons nous asseoir. Bonheur : des french fries (des frites une fois) !
Avec du saumon pour Hubert, du porc pour Agnès. Miam. Et un demi-litre de bière
par là-dessus, c’est la dose minimum !
Le camping de Tallinn city est manifestement fermé. De toute
façon, aucun charme, proche d’une salle de sport dont il utilise sans doute les
sanitaires en saison. Nous nous replions donc dans la campagne, à Vanamõisa, et
c’est pas moisi ! Les installations sont toutes neuves, les sanitaires
sont chauffés, tip top, voila des gens qui savent recevoir !
La gare est à un kilomètre. Sur le quai, nous demandons à
une petite dame Estonienne où doit-on acheter les billets. En langue des signes
et avec deux mots communs, nous nous comprenons et elle nous invite à la
suivre. Les tickets s’achètent à bord à une contrôleuse. Le train est propre.
Écrans informatifs, wifi à bord… Nickel.
25 minutes plus tard, nous sommes au
cœur de la capitale, face aux remparts.
Pendant que nous sommes en jambes, nous commençons par
l’ascension du clocher de l’église Saint-Olaf, 60 mètres de dénivelé, par des
marches très irrégulières, d’abord colimaçon à gauche, puis colimaçon à droite,
et une échelle de meunier pour finir.
Mais le spectacle en vaut la peine si
l’on survit à l’épreuve !
La grand-place de la mairie sous une courte averse
La cathédrale orthodoxe Alexander Nevski
L’église Notre-Dame catholique (pour info, église en Eesti,
ça se dit Kiriku !)
Le parlement Estonien
Le panorama
Le marché
Nous nous restaurons dans une petite échoppe de mets locaux
Après cela, nous sommes bien calés, nous rentrons au camping pour une sieste bien méritée !
Tallinn est vraiment une superbe ville, une de nos plus
belles découvertes de ce voyage.
J'ai mis beaucoup de photos dans cet article, mais j'en ai encore d'autres...